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CAFCAN - Services sociaux pour les Caribéens et les Canadien.ne.s africain.e.s
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Projet: Black SNAP®: Adaptation culturelle de Stop Now and Plan (SNAP®) pour les enfants et les familles noirs
Quel est le problème?
Depuis quatre ans, des organismes dirigés par des Noir.e.s à Toronto offrent le programme Stop Now And Plan (SNAP®), qui repose sur des données probantes, à des communautés majoritairement noires. Le programme est pertinent et utile, mais il manque d’adaptation culturelle. Il ne traite pas des expériences du racisme antinoir, ni des traumatismes et des problèmes de survie que celui-ci provoque chez les enfants et les jeunes noir.e.s.
Quelle est l’innovation?
Trois organismes de Toronto travailleront en partenariat avec le Child Development Institute (CDI), l’organisme qui a conçu le programme original SNAP®. Ces organismes sont CAFCAN Social Services, Delta Family Resource Centre et Tropicana Community Services. Ils détermineront les composantes clés de l’adaptation culturelle du programme SNAP® pour mieux servir les enfants, les jeunes, les familles et les collectivités noir.e.s. Leur approche utilisera le concept ghanéen de Sankofa (« retournez-y et récupérez-le ») pour tirer les leçons des expériences passées d’offrir SNAP® aux jeunes noir.e.s et utiliser ces expériences pour améliorer les offres futures. Les commentaires des participant.e.s et des praticien.ne.s de Black SNAP® guideront l’élaboration de ces améliorations.
Quel est l’impact anticipé?
La modifcation du programme afn de mieux répondre aux besoins particuliers des enfants, des jeunes et des familles noir.e.s pourrait accroître l’effcacité de SNAP® pour réduire les comportements perturbateurs, la consommation d’alcool et d’autres drogues et les problèmes de santé mentale. Cette initiative peut servir de modèle de pratiques exemplaires pour créer des adaptations culturelles de SNAP® pour d’autres personnes racialisées et culturellement diverses.
Quels étaient les résultats?
Les résultats de ce projet ont été mesurés au moyen d’une approche d’évaluation à méthodes mixtes qui comprend des sondages et des commentaires auprès des collectivités, des données sur l’utilisation des services, des évaluations du personnel, des analyses comparatives entre les organismes, des comités consultatifs communautaires et des changements dans la conception des programmes. Grâce à des études documentaires approfondies, à des entrevues et à des groupes de discussion avec le personnel du programme Stop, N’agis pas, Analyse et Planifie (SNAP), les enfants, les jeunes et les familles, le CAFCAN a élaboré une ressource sensible aux réalités culturelles et fondée sur l’affirmation qui peut être intégrée dans l’ensemble du programme SNAP. Le programme SNAP a été adapté selon le principe de Sankofa, « revenir en arrière pour aller de l’avant », qui met l’accent sur la mise à profit des histoires culturelles et des expériences vécues pour orienter les services actuels, en veillant à ce que les programmes intègrent les valeurs culturelles plutôt qu’en adaptant simplement les modèles existants. Le cadre peut être utilisé comme modèle par les prestataires de services qui travaillent avec des enfants, des jeunes et des soignants noirs qui sont touchés de façon disproportionnée par les inégalités systémiques.
Quels ont été les leçons apprises?
Au cours du programme, il est devenu évident que l’adaptation culturelle à elle seule ne suffisait pas à répondre aux besoins des enfants, des jeunes et des familles noirs, ce qui équivalait souvent à apporter des changements superficiels à des programmes qui n’avaient pas été conçus pour eux au départ. Bien que l’adaptation ait révélé des lacunes importantes, elle a fait ressortir la nécessité d’adopter des approches novatrices, systémiques et axées sur la communauté, comme le principe « revenir en arrière pour aller de l’avant », qui vise intentionnellement à mettre l’accent sur les enfants, les jeunes et les aidant.e.s noirs. Pour ce faire, les programmes doivent être conçus à partir de la base et fondés sur des expériences et une expertise vécues et vivantes, enracinés dans le savoir culturel, guidés et amplifiés par le leadership et les voix des personnes noires.
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Child & Youth Milopemahtesewin Services (CYMS)
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Projet: Services Milopemahtesewin pour enfants et jeunes
Quel est le problème?
L’accès aux enseignements culturels autochtones, à la langue, aux activités artistiques et à l’apprentissage de la Terre autochtones sont des soutiens importants pour la santé mentale et le bien-être des enfants, des jeunes autochtones et de leurs familles. Les collectivités de la région de James Bay ont toujours besoin de possibilités de programmes culturels pour les enfants et les jeunes. Toutefois, les coûts associés à l’offre de ces activités rendent diffcile leur prestation. Cela signife que les occasions de partage sain, d’apprentissage, de connexion sociale et de transmission des connaissances culturelles au sein des communautés sont manquées.
Quelle est l’innovation?
L’agence offrira des programmes dans les communautés autochtones de la région. L’accent sera mis sur les enseignements culturels, l’apprentissage des langues, les activités artistiques et l’apprentissage de la Terre dans un environnement sécuritaire. L’objectif est de promouvoir des modes de vie sains et d’améliorer la santé mentale et le bien-être des membres de la collectivité.
Quel est l’impact anticipé?
La formation de l’identité est une composante essentielle du développement des enfants et des jeunes et soutient leur bien-être au fur et à mesure qu’ils et elles grandissent. L’offre de programmes culturels favorisera l’accès aux enseignements traditionnels, aux pratiques de récolte, aux connaissances historiques, aux coutumes et aux cérémonies. Cette programmation permettra aux enfants et aux jeunes de se sentir mieux et de leur donner des compétences et des connaissances précieuses.
Quels étaient les résultats?
En collaborant avec la communauté des Premières Nations d’Attawapiskat, CYMS a organisé une série d’événements, d’activités de groupe et de présentations dans l’ensemble de la communauté et dans les écoles. Ces événements ont été animés par des animatrices et animateurs des Premières Nations spécialisés dans des sujets comme la violence, les traumatismes, le deuil et l’intimidation. Les animatrices et animateurs ont également collaboré avec des membres de la communauté pour choisir d’autres sujets qui profiteraient à la communauté. Au total, 579 participant.e.s, dont 418 enfants et jeunes et 161 adultes, ont assisté à ces événements.
Quels ont été les leçons apprises?
La mobilisation directe de la communauté a permis à CYMS d’approfondir sa compréhension de la violence continue, des traumatismes intergénérationnels et des répercussions des inégalités historiques et systémiques pour les communautés des Premières Nations. L’équipe a également reconnu la force et la résilience des communautés des Premières Nations en apprenant comment soutenir efficacement leurs communautés. La collaboration avec les membres de la communauté pour façonner les programmes était essentielle pour assurer la pertinence et des répercussions significatives.
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Services à l’enfance et à la famille New Path Youth and Family Services et Dnaagdawenmag Binnoojiiyag
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Projet: Adopter un programme fondé sur des données probantes et l’adapter pour obtenir de meilleurs résultats pour les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Inuits et des Métis qui participent au système de protection de l’enfance
Quel est le problème?
Les programmes de santé mentale et d’attachement parental fondés sur des données probantes et couramment utilisées ne sont pas culturellement adaptés aux besoins des enfants, des jeunes autochtones et de leur famille. Il faut que le personnel de l’agence approfondisse sa connaissance de la meilleure façon de servir les familles autochtones, qu’elle conteste les normes de la programmation euro centrique de l’organisation et qu’elle élargisse ses services afn de s’aligner sur la vision du monde des communautés autochtones qu’elle sert.
Quelle est l’innovation?
New Path Youth and Family Services s’associera à l’Agence de services à l’enfance et à la famille pour le bien-être des enfants autochtones Dnaagdawenmag Binnoojiiyag, pour adopter un programme existant qui est fondé sur des données probantes et l’adapter afn qu’il soit mieux informé culturellement par les connaissances, la sagesse et l’expertise autochtones. Quinze travailleur.se.s de soutien familial autochtones suivront une formation dans deux rôles : apprenant et enseignant. Les travailleur.se.s de soutien fourniront des commentaires sur la façon d’adapter le programme et établiront des parallèles entre 5 Initiatives d’innovation 2023- 2024 - Résumé des projets le programme d’études et les concepts et pratiques semblables dans les communautés autochtones.
Quel est l’impact anticipé?
L’intégration des pratiques et des points de vue autochtones dans les méthodes d’exécution de ce programme améliorera le programme pour les familles autochtones. La direction de Dnaagdawenmag Binnoojiiyag permettra au personnel de New Path Youth and Family Services de mettre l’accent sur les façons de penser, de savoir et d’être des Autochtones.
Quels étaient les résultats?
Les résultats ont été mesurés à l’aide d’un questionnaire sur l’attachement rempli par les parents avant et après le programme Circle of Security Parenting. Dans le questionnaire rempli après le programme, la plupart des participant.e.s ont répondu « savoir quels étaient les besoins de leur enfant en matière d’attachement » et « comprendre comment répondre aux besoins de leur enfant » dans une plus forte proportion que dans le questionnaire rempli avant le programme. Le programme a permis de constater une amélioration des résultats parentaux sur les plans de la confiance en soi, de l’estime de soi, des stratégies d’adaptation ainsi que de la capacité à réfléchir à leurs propres difficultés parentales et à les explorer (désignées comme leur « musique du requin »). Les parents ont également indiqué se sentir plus en confiance pour essayer de nouvelles approches parentales.
Quels ont été les leçons apprises?
Certaines familles aux prises avec un traumatisme intergénérationnel ont découvert après avoir terminé le programme Circle of Security Parenting qu’elles étaient emballées par leur capacité de réfléchir à la façon dont elles étaient parents et à l’incidence que cela avait sur la façon dont elles élevaient leurs propres enfants. Les parents étaient en mesure d’expliquer les dix besoins de leur enfant en matière d’attachement et la volonté de répondre à ces besoins. On s’est vite rendu compte de la nécessité d’offrir des soins de suivi supplémentaires à certains parents pour les aider à mettre en pratique les compétences acquises. À la suite de cet apprentissage, un programme de suivi a été élaboré pour aider les familles à répondre aux besoins de leur enfant par le jeu en utilisant la thérapie fondamentale. Les parents ont reçu un accompagnement durant les séances afin d’apprendre des activités pratiques axées sur la structure, l’engagement, le soutien et la remise en question, visant à mieux répondre aux besoins de leurs enfants.
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Linck
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Projet: Liens avec les nouvelles familles d’immigrant.e.s
Quel est le problème?
Dans la région de Chatham-Kent, il est nécessaire d’élaborer des programmes de lutte contre la violence qui soient adaptés à la culture et d’intervenir en santé mentale des enfants et des jeunes en fonction de données probantes. Les programmes visent à améliorer la sécurité et le bien-être des enfants immigrant.e.s et réfugié.e.s, des jeunes et des familles musulman.e.s, tout en maintenant leurs liens avec leurs proches et leurs communautés.
Quelle est l’innovation?
Pour cette innovation, Linck s’associera avec des membres du Chatham Islamic Resource Centre, du London Ontario Muslim Resource Centre for Social Support and Integration (MRCSSI), du London Centre for Culturally Integrative Reponses (CCIR) et des représentant.e.s de la communauté musulmane de Chatham-Kent. Ensemble, les partenaires exploreront la meilleure façon de fournir des services de santé mentale éclairés par les traumatismes dont souffrent les enfants, les jeunes et les familles d’immigrant.e.s et de réfugié.e.s musulman.e.s. Un accent primordial sera mis sur l’expérience de la violence islamophobe, de la violence sexiste et des répercussions de l’adaptation aux normes culturelles et sociales nord-américaines. Ce programme utilisera des messages axés sur le mieux-être, afn de mieux joindre les membres de la collectivité qui pourraient être stigmatisés quant à l’accès aux soins de santé mentale.
Quel est l’impact anticipé?
L’adaptation culturelle des services en partenariat avec les organismes locaux au service des communautés musulmanes entraînera de meilleurs soins de santé mentale et une amélioration du bien-être des enfants, des jeunes et des familles musulman.e.s. Les relations et la communication entre les communautés musulmanes et Linck seront renforcées. Le personnel de Linck apprendra à mieux servir les membres de la communauté musulmane. Les enfants, les jeunes et les familles musulman.e.s qui y participent en apprendront davantage sur les services de Linck, ce qui aidera à soulager les malentendus ou les préoccupations concernant l’agence ou les services de santé mentale en général.
Quels étaient les résultats?
L’un des principaux résultats de ce projet a été la création d’une ressource du personnel pour travailler avec la clientèle musulmane, conçue pour guider le personnel dans la prestation d’un soutien adapté à la culture aux familles musulmanes touchées par un traumatisme. Un autre résultat important a été l’établissement d’un protocole d’entente avec le Centre islamique de Chatham et la mise en place d’un plan pour obtenir une contribution continue de la communauté musulmane. L’équipe a également mis à jour son processus d’admission afin de recueillir plus de renseignements – comme les antécédents en matière d’immigration, la religion et la langue – lorsque des familles musulmanes demandent du soutien, avec la souplesse nécessaire pour apporter des modifications supplémentaires en fonction des besoins uniques de la clientèle future et des futures familles.
Quels ont été les leçons apprises?
Les leçons apprises comprennent l’importance de réduire la stigmatisation et de normaliser la recherche d’aide au sein de la communauté musulmane pour contrer la réticence à reconnaître les luttes personnelles. Une autre leçon clé a été l’importance d’établir des relations solides avec la communauté fondées sur l’écoute, la mobilisation et l’apprentissage par les partenaires communautaires, en mettant l’accent sur l’établissement d’un lien de confiance par-dessus tout pour aider à créer un impact durable. Le programme a également mis en évidence les avantages de la prescription sociale, où des membres de la communauté de confiance, comme des chefs religieux, peuvent donner un aperçu des défis comportementaux à relever, notamment comme le refus d’aller à l’école et la consommation de substances, la mobilisation des membres de la famille, l’élimination des obstacles linguistiques, etc.
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Vanier Children’s Mental Wellness, en partenariat avec les agences de services essentiels de London-Middlesex et le Muslim Resource Centre for Social Support and Integration
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Projet: Une adaptation de la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) pour les familles de nouveaux ou nouvelles arrivant.e.s, d’immigrant.e.s et de réfugié.e.s des pays du Moyen-Orient
Quel est le problème?
Vanier Children’s Mental Wellness a offert un programme de thérapie cognitivocomportementale (TCC) fondée sur des données probantes, aux familles de nouveaux ou nouvelles arrivant.e.s, d’immigrant.e.s et de réfugié.e.s des pays du Moyen-Orient. L’organisme a découvert que le modèle de TCC et son approche verticale ne répondaient pas aux besoins en santé mentale des enfants, des jeunes et des familles de ces collectivités, dont beaucoup souffrent d’un grand nombre de traumatismes et doivent surmonter beaucoup d’obstacles pour avoir accès aux services de soutien et à l’éducation.
Quelle est l’innovation?
Vanier avec les agences de services essentiels de London-Middlesex, en partenariat avec le Muslim Resource Centre for Social Support and Integration (MRCSSI), adapteront un programme de TCC pour y inclure des éléments de thérapie narrative. Ce style de thérapie se concentre sur les histoires que nous développons pour décrire des moments de notre vie. Le personnel de ces organismes, ainsi que des expert.e.s des communautés musulmanes locales et des participant.e.s au programme, élaboreront ensemble le programme. Les clinicien.ne.s mettront l’accent sur les forces des enfants, des jeunes et des adultes participant.e.s, et sur la façon dont leur origine culturelle du Moyen-Orient façonne leurs expériences. Les organismes modiferont la façon dont le programme est offert afn que chacun puisse y participer en même temps. Les clinicien.ne.s suivront également le programme aux côtés des parents et des enfants, ce qui fera accroître la confance et créera des relations où les participant.e.s sont reconnu.e.s comme étant des expert.e.s de leurs propres expériences.
Quel est l’impact anticipé?
Le fait de s’appuyer sur les programmes de TCC en ajoutant des éléments de thérapie narrative et en offrant des programmes simultanés pour toute la famille rendra le programme plus respectueux et plus adapté à la culture des participant.e.s. La structuration du programme visant à mettre l’accent sur les forces et l’expertise des participant.e.s concernant leurs propres expériences améliorera leur confance et soulignera les possibilités de croissance et de changement. La participation au programme sensibilisera également les parents et les enfants au fait qu’ils ou elles font partie d’une collectivité. En adaptant et en co-élaborant ce programme avec MRCSSI et des partenaires de la communauté musulmane, le personnel de Vanier Children’s Mental Wellness et des agences de services essentiels de London-Middlesex renforcera sa capacité à offrir des soins culturellement adaptés aux communautés musulmanes.
Quels étaient les résultats?
Les résultats du programme ROOTS (Resilience, Opportunities, Optimizing Transitions and Supports) ont été rendus possibles grâce à des méthodes qualitatives, comme la rétroaction des participant.e.s et les groupes de discussion avec les animatrices et animateurs du programme. On a demandé aux participant.e.s de réfléchir à leur expérience du programme et on a demandé aux animatrices et animateurs de commenter le contenu et l’animation du programme. À ce titre, deux thèmes centraux sont ressortis des commentaires des participant.e.s, notamment les sentiments déclarés de sécurité accrue au sein du programme et d’amélioration des capacités d’adaptation. Voici les thèmes généraux des groupes de discussion avec les animatrices et animateurs du programme :
- L’importance de relations interorganismes solides entre les diverses organisations.
- La création d’un sentiment d’appartenance et de communauté.
- Le soutien et l’appréciation de l’identité holistique de la clientèle (aspects qui recoupent les identités).
- La création d’un espace sécuritaire où tout le monde se sent à l’aise d’exprimer ses sentiments et d’en discuter.
- L’adaptation de la structure du programme qui comprenait la prestation d’une formation sur le curriculum avant le début du programme, la clarification des rôles et l’attribution de temps aux animatrices et animateurs pour renforcer leurs connaissances et leurs compétences en matière de contenu adapté à la culture.
Quels ont été les leçons apprises?
Les principales leçons tirées de ce programme comprenaient l’importance de travailler entre les cultures dans un cadre culturellement intégré et réceptif, ainsi que de trouver un équilibre entre la planification et l’élaboration du programme dans un délai adéquat. Il a également été utile de répondre aux préoccupations tout au long du programme. Par exemple, lorsque les animatrices et animateurs ont exprimé le besoin d’un soutien supplémentaire, les chefs d’équipe ont répondu en offrant du soutien avant et après la séance, y compris de l’aide pour la planification des séances et les comptes rendus. Une autre leçon importante a été la nécessité d’offrir une formation approfondie aux animatrices et animateurs avant le lancement du programme et de créer une boucle de rétroaction efficace. La création conjointe de règles de groupe avec les enfants et les jeunes, ainsi que des rappels ont également contribué à promouvoir la sécurité et la responsabilisation. Enfin, un autre point important à retenir est la valeur des compétences et des connaissances transférables que les animatrices et animateurs peuvent appliquer dans leur pratique professionnelle et dans d’autres programmes comme le programme ROOTS.
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